Stone sculpted poetry and roses from the funeral
A memorial to death, words of admiration
The dance of leaves in early autumn haze
As with the constant wind comes the grief
Colors won’t describe nor will they provide
With flavor, nothing but grey leaving a bitter scent
No release, enslaved by the past, see the sun go down
for the last time before darkness master my rest
Here; the caskets where spirits as captives lie
Holy ashes to be dust before materialized
Darkly veiled the heart to be forgotten
Knowing death would bring enlightenment
Souls it wants to rid, souls unpure; birthed from bitter roots
Outside the prisoners bound to hear
the wind whirling 'round
Their presence immortally screaming
even after their death
Faire passer le black par un équipement daté pour rendre le son brut de décoffrage, j'ai longtemps pensé que c'était Staurophagia le maître en la matière mais Obsidian Tongue l'a fait avant lui et tout aussi bien dans son premier opus, Volume I: Subradiant Architecture. On se retrouve ainsi avec un black metal qui rend hommage à l'école norvégienne, entre poésie ésotérique ("Approaching the Well", "It Dangles from the Bones") et guitares furieuses, mais il est aussi très moderne. Un bon album ! Jordan Vauvert
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert